"Apocalypse ne signifie évidemment pas "fin-du-monde-catastrophe-généralisée, etc.",le mot signifie au contraire la révélation de la présence divine dans le monde."***
" Toute littérature est un écho du Verbe, qu’on le veuille ou non."(Dantec) *** l’Art, qu’il soit littéraire ou plastique, n’exprimait jamais rien d’autre, à ses yeux, que l’idée que la partie n’est jamais et n’est pas jouée (Muray)***"la vérité ne peut-être obtenue qu'au prix de renoncer à la certitude" (Nemo)
Je proteste ! je m'insurge ! Je m'indigne et rebellionne ! J'ai longtemps eu la barbe et si je l'ai finalement supprimée c'est justement par flemme de l'entretenir.
François, rassurez vous, en matière de culture cinématographique (mais musicale aussi et...autre!) je bats des records d'inculture. Bon, l'idée est de faire ce que l'on peut avec le cerveau que l'on a, pas de vouloir être calife à la place du calife.
J'avais pas vu ce film du coup j'en ai visionné la première partie (l'autre marchait pas) et l'acteur qui fait le barbu farfelu a également joué dans une très bonne série, quoi qu'un peu maigre en nombre d'épisodes, où il incarne un dessinateur de BD empêtré dans ses problèmes de couple. Ca s'appelle Bored To Death et ça met en scène un écrivain plutôt paumé et légèrement alcoolo qui esquive la monotonie de son quotidien d'écrivaillon en s'improvisant détective privé. Ca pourrait vous plaire si jamais vous trouvez le temps de lézarder devant l'ordi un de ces quatre. J'vous ai dégoté ce lien avec les deux saisons dispos en VO (sous-titrée parce que j'suis pas toujours très véloce pour capter ce qu'ils baragouinent les Anglo-Sax'): http://www.dpstream.net/serie-905-aj.html#js905-,-1-,-01%20[VOST%20FR]
Merci, je mets sur le coup mes grands pour qu'ils me servent le truc sur un plateau... Je raffole des séries amerloques,des comédies.Il y en a une qui me plait énormément, je ne sais pas si elle date ou pas, disons,je la regarde en ce moment parce que j'ai du temps : Rules of engagement http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=3118.html
"Very bad trip", nous avons regardé le premier avec mon mari j'ai beaucoup ri, je suis très bon public, il est vrai...
Le début avec "le beaugosse" qui est prof. : la cloche sonne et un petit élève s'approche de son bureau pour une question et là le "prof." se lève et dit : "Kevin, non, la cloche a sonné, le week end est commencé, tu n'existes plus pour moi". C'est le genre d'évidence qui me réjouit et me renvoie à ma propre réalité.
Pas plus tard qu'hier, après le déjeuner, je vais dans la cuisine, j'avais renvoyé tout le monde qui à la sieste, qui à ses occupations et je apprêtais à tremper mes lèvres dans un bon café... à ce moment là un des jumeaux arrive en braillant je ne sais quoi. Dans un réflexe je lui ai balancé : "dégage". Ma fille Marie Liesse était pliée en deux de rire et m'a dit : "Il n'y a que toi pour te comporter ainsi! Aucune maman digne de ce nom ne parle comme ça à ses enfants!" Je lui ai répondu : "quand tu auras dix gamins, je te rappellerai cet épisode et tu comprendras combien j'avais de l'expérience d'une survie longue durée en milieu hostile..."
C'est quoi, cette barbe ? Une conversion estivale à certaine religion d'amour, de tolérance et de paix ?
RépondreSupprimerNon, la flemme de se raser ^^
RépondreSupprimer"Non, la flemme de se raser"
RépondreSupprimerC'est l'explication de l'existence de 99,99% des barbes, ça. Qu'ellles aient trois jours ou trois semaines.
Je proteste ! je m'insurge ! Je m'indigne et rebellionne ! J'ai longtemps eu la barbe et si je l'ai finalement supprimée c'est justement par flemme de l'entretenir.
RépondreSupprimerJ'ai pas la comprenette un peu lente, j'ai la culture cinématographique extrêmement courte. Et datée.
RépondreSupprimerFrançois
François, rassurez vous, en matière de culture cinématographique (mais musicale aussi et...autre!) je bats des records d'inculture. Bon, l'idée est de faire ce que l'on peut avec le cerveau que l'on a, pas de vouloir être calife à la place du calife.
RépondreSupprimerJ'avais pas vu ce film du coup j'en ai visionné la première partie (l'autre marchait pas) et l'acteur qui fait le barbu farfelu a également joué dans une très bonne série, quoi qu'un peu maigre en nombre d'épisodes, où il incarne un dessinateur de BD empêtré dans ses problèmes de couple. Ca s'appelle Bored To Death et ça met en scène un écrivain plutôt paumé et légèrement alcoolo qui esquive la monotonie de son quotidien d'écrivaillon en s'improvisant détective privé. Ca pourrait vous plaire si jamais vous trouvez le temps de lézarder devant l'ordi un de ces quatre. J'vous ai dégoté ce lien avec les deux saisons dispos en VO (sous-titrée parce que j'suis pas toujours très véloce pour capter ce qu'ils baragouinent les Anglo-Sax'): http://www.dpstream.net/serie-905-aj.html#js905-,-1-,-01%20[VOST%20FR]
RépondreSupprimerFrançois
Merci, je mets sur le coup mes grands pour qu'ils me servent le truc sur un plateau...
RépondreSupprimerJe raffole des séries amerloques,des comédies.Il y en a une qui me plait énormément, je ne sais pas si elle date ou pas, disons,je la regarde en ce moment parce que j'ai du temps : Rules of engagement http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=3118.html
"Very bad trip", nous avons regardé le premier avec mon mari j'ai beaucoup ri, je suis très bon public, il est vrai...
Le début avec "le beaugosse" qui est prof. : la cloche sonne et un petit élève s'approche de son bureau pour une question et là le "prof." se lève et dit : "Kevin, non, la cloche a sonné, le week end est commencé, tu n'existes plus pour moi". C'est le genre d'évidence qui me réjouit et me renvoie à ma propre réalité.
Pas plus tard qu'hier, après le déjeuner, je vais dans la cuisine, j'avais renvoyé tout le monde qui à la sieste, qui à ses occupations et je apprêtais à tremper mes lèvres dans un bon café... à ce moment là un des jumeaux arrive en braillant je ne sais quoi. Dans un réflexe je lui ai balancé : "dégage". Ma fille Marie Liesse était pliée en deux de rire et m'a dit : "Il n'y a que toi pour te comporter ainsi! Aucune maman digne de ce nom ne parle comme ça à ses enfants!" Je lui ai répondu : "quand tu auras dix gamins, je te rappellerai cet épisode et tu comprendras combien j'avais de l'expérience d'une survie longue durée en milieu hostile..."