Extrait :
"Et pourtant, cette surprenante nouvelle a rapidement disparu des fils d'information, noyée dans les commentaires de l'allocution présidentielle. Un peu comme si la question des traitements possibles du covid19 n'intéressait personne. Il est vrai que la nouvelle avait de quoi surprendre.
Le 14 avril au soir, on pouvait lire sur le fil d'info de FranceInfo que l'Assistance Publique des hôpitaux de Paris lançait une étude pour mettre au point un traitement préventif du covid19 à l'intention de ses soignants. Excellente idée que de protéger ceux qui sont tous les jours au contact de l'épidémie. Et si en plus de ça, un traitement préventif prouvait son efficacité, nous en serions tous bénéficiaires. Une bonne nouvelle donc, qui aurait du trouver un plus grand écho.
Sauf que... sauf que, ce qui va être testé par l'AP-HP en traitement préventif pour ses soignants, c'est le traitement pratiqué à Marseille par le démoniaque Pr Raoult et ses affidés! Et pas un petit test. 300 soignants vont être "empoisonnés" par l'hydroxychloroquine, dont on n'a cessé de nous dénoncer les dangers. 300 autres auront droit à l'azithromycine un antibiotique banal, mais que personne avant l'IHU Méditerranée n'avait eu l'idée d'utiliser contre cette infection virale. Depuis l'idée a fait son chemin, par des voies non officielles. Des médecins soucieux de soigner leurs malades avec quelque chose de plus efficace que le Doliprane ont obtenu des résultats encourageants avec cet antibiotique. "
"Et pourtant, cette surprenante nouvelle a rapidement disparu des fils d'information, noyée dans les commentaires de l'allocution présidentielle. Un peu comme si la question des traitements possibles du covid19 n'intéressait personne. Il est vrai que la nouvelle avait de quoi surprendre.
Le 14 avril au soir, on pouvait lire sur le fil d'info de FranceInfo que l'Assistance Publique des hôpitaux de Paris lançait une étude pour mettre au point un traitement préventif du covid19 à l'intention de ses soignants. Excellente idée que de protéger ceux qui sont tous les jours au contact de l'épidémie. Et si en plus de ça, un traitement préventif prouvait son efficacité, nous en serions tous bénéficiaires. Une bonne nouvelle donc, qui aurait du trouver un plus grand écho.
Sauf que... sauf que, ce qui va être testé par l'AP-HP en traitement préventif pour ses soignants, c'est le traitement pratiqué à Marseille par le démoniaque Pr Raoult et ses affidés! Et pas un petit test. 300 soignants vont être "empoisonnés" par l'hydroxychloroquine, dont on n'a cessé de nous dénoncer les dangers. 300 autres auront droit à l'azithromycine un antibiotique banal, mais que personne avant l'IHU Méditerranée n'avait eu l'idée d'utiliser contre cette infection virale. Depuis l'idée a fait son chemin, par des voies non officielles. Des médecins soucieux de soigner leurs malades avec quelque chose de plus efficace que le Doliprane ont obtenu des résultats encourageants avec cet antibiotique. "
Lundi 20 Avril
C'est officiel, j'exècre non seulement les avocats mais aussi les médecins.
Je m'explique : jusqu'à présent lorsqu'on se pointait chez son avocat, il fallait avoir constitué soi-même son dossier, sa défense si l'on voulait avoir une chance que l'avocat se bouge. Et son chéquier évidemment.
De même, si l'on va voir son médecin généraliste, il faut arriver avec son diagnostique et sa demande de traitement si l'on veut que le médecin fasse une ordonnance un peu solide. C'est toujours comme cela que j'ai opéré et, à force de diplomatie et de léchages de pompes, j'ai à peu près toujours obtenu ce que je voulais de la caste médicale.
Je m'explique : jusqu'à présent lorsqu'on se pointait chez son avocat, il fallait avoir constitué soi-même son dossier, sa défense si l'on voulait avoir une chance que l'avocat se bouge. Et son chéquier évidemment.
De même, si l'on va voir son médecin généraliste, il faut arriver avec son diagnostique et sa demande de traitement si l'on veut que le médecin fasse une ordonnance un peu solide. C'est toujours comme cela que j'ai opéré et, à force de diplomatie et de léchages de pompes, j'ai à peu près toujours obtenu ce que je voulais de la caste médicale.
Sauf pour ce virus où, là, mon généraliste m'a clairement opposé une fin de non recevoir à ma demande de visite et surtout à ma demande de Plaquénil. Avant de raccrocher précipitamment. Restez crever chez vous, tel est le message que j'ai reçu comme la plupart des français. Si vous tenez absolument à vous faire hospitaliser parce que vous ne respirez plus, un technicien de maintenance (cad un médecin urgentiste) vous mettra un tuyau dans le bec et, avec un peu de bol, ça marchera.
Cette caste d'élus va tout de même se faire soigner en loucedé préventivement et nous, nous sortirons avec nos gants de toilette sur la bouche et nous hésiterons à voir nos parents, même de loin. Nos parents, non soignés préventivement, non testés et qui ne voient plus de médecins pour tous leurs maux de vieux.
J'ai un fils qui se trimballe avec une entorse de cheville mal soignée dans un hôpital public, et je ne sais pas quand est-ce que je pourrai reprendre un rendez-vous dans une clinique privée "réquisitionnée " pour la Cause.
La médecine, qui a le qualificatif complètement mensonger de "libérale" ferait bien de se libérer pour de bon de sa dépendance à l'état (de la sécurité sociale), à l'occasion de cette crise, si elle veut retrouver un peu de crédibilité auprès de ses clients, je veux dire patients.
Retournons à nos moutons avant que la bile me sorte par les trous de nez : fraisier maison pour le dimanche, et belle rose de mon jardin. On se console comme on peut de vivre dans un pays communiste.


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