dimanche 10 juin 2012

Fête-Dieu








 









5 commentaires:

  1. Robert Marchenoir10 juin 2012 à 16:24

    Comment ont-il osé visser des haut-parleurs sur une maison aussi ancienne, à l'architecture aussi magnifique ? Ils ne pouvaient vraiment pas les mettre cent mètres plus loin ? Ca aurait ruiné la quinzaine commerciale annuelle ?

    Nan mais j'vous jure, ces gens-là ne méritent pas leur village...

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  2. C'est vrai que c'est le détail qui tue!^^ Mais bon, nous avons fait notre petite procession dans le centre et c'est toujours très très bien accueilli par la population. Dans notre paroisse, nous sommes tout le temps fourrés dehors pour n'importe quelle occasion; je crois que c'est une bonne attitude; elle n'est pas arrogante ou provocante -comme ça peut parfois être le cas dans certains lieux! Et j'ai horreur de cela croyez-moi, chez certains catholiques- mais toujours très "bon enfant" et joyeuse. Les gens ne s'y trompent pas d'ailleurs.

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  3. Joli village chère Crevette. Mais où est-ce donc ?
    Idem chez nous, procession à travers notre petite ville avec chants, prières et pétales de rose. Le maire a même fini par se joindre au pique-nique de paroisse qui a clôt cette Fête-Dieu.

    Obéron

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  4. Pas loin de Chartres Obéron.
    La campagne profonde est tout à fait agréable à habiter à condition d'avoir des voitures et de passer son temps sur les routes mais dès que vous approchez des petites villes ou villes moyennes c'est la déconfiture : pleins de logements sociaux envahis de délinquants, peu de moyens policiers et un état général de culture, écoles, hôpitaux très médiocres. En France, il faut habiter soit la très grande ville avec quelques beaux quartiers et écoles et cliniques privées, soit la campagne profonde avec des kilomètres à faire pour avoir un centre-ville potable dans lequel on ne s'attarde pas. L'entre-deux est mortel (au sens strict du terme) à moins d'habiter des coins où le logement est resté très cher donc peu accessible à une population "criminogène".

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  5. J'habite dans une ville de banlieue assez chère mais la bascule démographique se fait sentir.
    Par le jeu des transfert de populations "chômageuses" des banlieues défavorisées en banlieues "favorisées", on répartit les communautés difficiles pensant les assimiler, mais on ne fait que crée de nouveaux foyers, tout comme un pompier pyromane qui répartirait les braises croyant éteindre le feu.
    Pas sûr qu'après 5 ans de Normalité, le Grand Remplacement n'ait pas eu lieu dans ma sympathique petite ville.
    Déjà les francs, les lusitaniens, les ibères et les étrusques commencent à se barrer, laissant la place aux nouveaux arrivants.
    La France est un drame.

    Obéron

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