dimanche 27 novembre 2011

Socialisme=criminels 9

Par Robert Marchenoir chez Didier Goux, dans les commentaires sous le texte :" De la Vendée à Vichy : balade révisionniste" : 


Le gauchiste-type, Léon : il accuse les autres de ses propres vices.

Ce n'est pas moi qui "fais dans la dentelle", bougre d'andouille ! C'est la CGT.

Ce n'est pas moi qui ai volé un stock de fusils au moment de la faillite de Manufrance, pour le cacher sur mon lieu de travail en attendant la révolution socialiste, et rendre plus "convaincantes" mes "justes revendications sociales" : c'est le syndicat CGT des imprimeurs de journaux (qui n'a d'ailleurs jamais été poursuivi pour ce fait, porté directement, et secrètement, à la connaissance du ministère de la Justice de l'époque).

Ce n'est pas moi qui ai tué le port de Marseille à force d'exactions mafieuses, réalisant l'exploit de détruire son attractivité naturelle dûe à sa localisation et à deux mille ans d'histoire, au profit du port de Rotterdam beaucoup moins bien situé : c'est la CGT.

Etc, etc.

Je ne vais pas abuser de l'hospitalité du taulier pour vous faire la liste, qui pourrait remplir plusieurs centaines de pages ; complétez vous-même. Eduquez-vous un petit peu, avant de réagir avec l'intelligence d'un rat de laboratoire peint en rouge.

                                                                                   ******

Apprenez à lire, nom de Dieu, Léon, avant d'écrire n'importe quoi !

J'ai rapproché cette citation de Carrier : "Nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon", des déclarations de la CGT qui disaient exactement la même chose concernant une partie de l'économie française, à savoir sa marine.

La CGT dit exactement la même chose que le populicide de la Révolution française ! Ca ne vous interpelle pas un tout petit peu au niveau du vécu ? Il y a, à l'évidence, une filiation historique entre la volonté de massacre de la Révolution française, ses inclinations terroristes, et la gauche d'aujourd'hui, sans parler des prétendues "valeurs républicaines" dont on nous casse les couilles à l'année longue, à gauche comme à "droite".

La CGT n'a pas elle-même massacré de gens ? La belle affaire ! Ils étaient destinés à quoi, les milliers de fusils qu'elle a planqués dans un hangar de distribution de journaux ? Au tir sportif ?

La CGT n'est pas une émanation directe du parti communiste, peut-être ? Elle n'a pas soutenu les régimes communistes qui ont fait cent millions de morts ? Elle ne les a pas activement soutenus ?

La CGT des imprimeurs de journaux n'a-t-elle pas, pendant des années, volé des bobines entières de papier journal subventionnées par le contribuable français pour les convoyer, par bateaux de la marine marchande justement, jusqu'à Cuba, afin de faciliter au régime frère sa noble tâche qui incluait l'assassinat des opposants politiques ?

Mais à part ça, ça n'a rien à voir ! Faut pas comparer ! La malhonnêteté et l'irresponsabilité de la gauche à leur sommet !

Si, au moins, les gauchos nous disaient : oui, on veut le communisme, et oui, on pense qu'il est justifié de tuer des millions de gens pour y parvenir, au moins pourrait-on leur reconnaître un minimum de dignité dans la saloperie (et c'est bien ce qu'ils disaient ouvertement, il n'y a pas si longtemps).

Mais aujourd'hui, ils veulent à la fois la saloperie et la respectabilité !



4 commentaires:

  1. Ce n'est parce que tout le monde le sait qu'il faut le répéter!

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  2. Pangloss : ben je vais me gêner tiens...

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  3. Robert Marchenoir27 novembre 2011 à 22:20

    Vraiment désolé d'avoir contribué à consteller de grossièretés ce blog familial en général fort correct...

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  4. Marchenoir,non non pas culpabilisation inutile! Dans le petit texte précédent "Une histoire de guerre véridique" il y a cette phrase : "Si vous n'appréciez pas les obscénités, vous n'appréciez pas la vérité" et je la reprends ici avec vos excellents et indispensables commentaires!

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