Cf chez Nicomaque quelques références intéressantes et vidéos du passage de l'écrivain en 2002 à Paris.
Et je me permets de rappeler ce passage prémonitoire d'Alain Laurent, lors de son cycle de conférences l'année dernière qui disait dans sa conférence Littérature et Libéralisme :
"A part ceux que je viens de nommer, il n'y personne d'autre qui serait à la fois écrivain et libéral (...)
Il y a une exception notable, mondiale, actuelle : Mario Vargas Llosa qui est aussi sur une liste noire, celle du Nobel de littérature qu'il aurait du avoir depuis longtemps mais il a pris position vigoureusement pour un libéralisme au sens plein du terme (y compris économique) et il n'a, par exemple, cessé de dire à quel point il admirait Margaret Thatcher ainsi que Hayek ! C'est le seul écrivain d'envergure mondiale qui ose faire cela.Et il ne cesse de continuer à s'engager : il y a peu de temps, au Chili, il a pris position en faveur du nouveau président libéral. Mais son cas est analogue à celui des autres : il ne développe pas ses idées libérales dans ses romans. Une seule exception : "Les cahiers de don Rigoberto" (1997) où Vargas Llosa dit le plus grand bien de la souveraineté individuelle telle que l'a enseignée Ayn Rand. "
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