-Maman, maman, regarde mon super pistolet!
- Très chouette Mimiche, génial... Mais! mais! C'est mon embout "fin"d'aspirateur que tu as mis au bout!! Je le cherchais depuis un moment!
-Voui, c'est bien hein c'est pour faire le silencieux...
"Apocalypse ne signifie évidemment pas "fin-du-monde-catastrophe-généralisée, etc.",le mot signifie au contraire la révélation de la présence divine dans le monde."*** " Toute littérature est un écho du Verbe, qu’on le veuille ou non."(Dantec) *** l’Art, qu’il soit littéraire ou plastique, n’exprimait jamais rien d’autre, à ses yeux, que l’idée que la partie n’est jamais et n’est pas jouée (Muray)***"la vérité ne peut-être obtenue qu'au prix de renoncer à la certitude" (Nemo)
Et le tee-shirt "camouflage" qui va avec, mazette !
RépondreSupprimerNe vous inquiétez pas, vous échapperez au pire, j'ai vu des livres au fond.
RépondreSupprimerSont beaux, vos enfants :)
RépondreSupprimerLe petit à droite de la photo est puni? Il n'a pas de sucette!
Carine : c'est Grégoire,mon plus gourmand, il a retiré sa sucette de la bouche pour poser...
RépondreSupprimerChr. Borhen :ouf!
Bon sang, j'ai AUSSI perdu mon embout fin d'aspirateur (mais chez nous, on est plutôt arc et flêches)
RépondreSupprimerSuzanne : maintenant, vous savez où chercher...^^
RépondreSupprimerMais c'est quoi, au juste, un aspirateur ?
RépondreSupprimer@Carine
RépondreSupprimerC'est très facile à reconnaitre, les jumeaux, je vais vous donner le truc: Grégoire, c'est celui qui fait la gueule même quand il rigole. Basile, c'est celui qui se marre même quand il pleure... Quand vous avez compris le truc, je ne sais pas pourquoi, vous les reconnaissez même de dos.
Ah, c'est pas le vibromasseur ?
RépondreSupprimerCatherine! I'm choking!
RépondreSupprimerXP : excellentissime, parfaite synthèse, brillante photographie.
Didier : c'est quelque chose de si monstrueux, de si affreux, de si atroce que mon mari, qui n'a peur de rien, est absolument terrorisé par cet engin... Pour ma part j'utilise le must : un Karcher semi professionnel.Quand vous aspirez les poils de chien incrustés dans le tapis, vous n'avez plus rien au bout du compte, même plus de tapis! J'adore...
Le Karcher, ça sert AUSSI à nettoyer par terre ? C'est multi-fonctions, donc...
RépondreSupprimerXP:
RépondreSupprimervus avez des jumeaux aussi?
Et ils sont symétriques par rapport à l'axe rigolade/boudage?
Tout ça me fait penser au sketch de Bosso sur quand il était môme et qu'il jouait à Zorro: il se servait de l'aspiro de sa daronne comme destrier parce que la marque de l'engin c'était "Tornado". Ma mère avait le même mais je jouais pas avec parce que le saligaud aspirait mes joujoux quand ma mère déboulinait pour faire la poussière dans ma case.
RépondreSupprimerFrançois
Didier, avec vos allusions douteuses vous allez faire rappliquer mon Mister Halde personnel, Robin des Bois!
RépondreSupprimerFrançois, oui, c'est vrai, la marque Tornado!^^ Quant aux jouets, my God! le nombre de Playmobils coincés dans MES aspirateurs... Le pire a été une petite chaussette de tennis, j'étais tellement enragée que je suis arrivée dans un dîner une fois avec mon tuyau bouché pour demander à l'assistance (et au maître de maison en particulier, ancien colonel de l'armée de l'air) de me déboucher le truc...ça c'est terminé par un massacre à la tronço.. au couteau et le tuyau était foutu.
Oui je suis là, la Crevette, désormais avec le Karcher, vous pourrez faire le gitan aussi. Le règne du propre avance.
RépondreSupprimerJe dois vous dire une chose,vos amis n'oseront sans doute pas, alors je le fais, cela me gène que vous instrumentiez vos enfants pour votre blog.
Bon, faites ce que vous voulez, ils sont à vous et je suppose que leur droit à l'image vous appartient.Mais je tenais à vous le dire.
Vous voyez, je sais toujours être grinçant!
Tuyau d'aspi' bouché... colonnel de l'armée de l'air... y'a comme une inconnue dans l'équation... mais j'ai toujours été nul en math.
RépondreSupprimerTuyau foutu, couteau pointu.
François
Y a pas d'inconnue François, enfin rien qui vaille la peine d'être expliqué!^^ (et je suis encore plus nulle que vous en math, c'est sûr)
RépondreSupprimerRobin : vous êtes un futé, je le savais!^^ Oui j'instrumentalise mes gamins, en fait je m'instrumentalise parce que les gamins, la famille, c'est ma vie, c'est moi. C'est une forme de témoignage vous comprenez? Montrer que les familles, c'est possible, même dans ce monde de fous, même dans cette société de cons. Voilà tout. Et qu'on peut, malgré tout, faire de ses mouflets autre chose que des zombies.
Ceci dit, vous êtes bien brave de me mettre en garde pour leur "image" et je vous remercie. Mais il n'est pas encore né celui qui s'en prendrait à ma progéniture, il pourrait être surpris d'ailleurs parce que dans le tableau idyllique et paradisiaque se cachent quelques "inconnues" qui pourraient surprendre ceux qui nous chercheraient des noises.
Oh, ce n'était pas une menace, moi je m'en moque, faites ce que vous voulez.
RépondreSupprimerCeux qui s'en prendront à ce que vous faites, ce seront plus surement, un jour, vos enfants eux-mêmes qui pourraient ne pas avoir les mêmes idées que vous et pourraient vous reprocher d'avoir été utilisés à leur service.
Robin des bois, merci pour cet éclat de rire matinal ! Moi ce qui me gène, c'est votre connerie !
RépondreSupprimerAh, Catherine, j'ai dû toucher juste!
RépondreSupprimerOui, Robin, dans la connerie.
RépondreSupprimerRobin des Bois a parfaitement raison : cette instrumentalisation est abjecte. D'autant qu'elle n'est qu'un premier pas sur la pente savonneuse (et on sait avec quoi les gens de votre sorte fabrique le savon – sans parler des abat-jour), qui mène insensiblement mais rapidement à la discrimination puis à la stigmatisation. Et, un jours, on se retrouve à arpenter le jardin au pas de l'oie en braillant le Horst Wessel Lied : pas bien joli, tout ça...
RépondreSupprimer@ Carine
RépondreSupprimerNon non, j'ai obsrervé ça sur ceux de la Crevette. De même, j'ai pû observer que lorsqu'il leur poussait de la barbe, ils avaient dans les dix-sept ans, et que s'il s'agissait de filles, vers les quinze ans, elles avaient des tétons, à l'inverse de leurs frères.
Je suis observateur, comme gars, que voulez-vous.
@Robinet
Je suis d'humeur ronchonne en ce moment, mais là, pourtant, vous m'avez fait rigoler pour la semaine.
je le savais XP, dès qu'on parle de Karcher, vous frétillez d'aise!
RépondreSupprimer@XP:
RépondreSupprimeroui, je ne savais pas tout ça, mais je l'ai lu dans le journal de Juin de Didier Goux.
Avant cela, je pensais que vous aviez vous-même une expérience des jumeaux.
Je vois que vous connaissez quand même la question de près, avec vos fines observations sur la barbe et les tétons. Ca sent le vécu tout ça.
Allons, monsieur Goux. le Horst Wessel Lied qu'est ce que c'est laid ce machin, même endoctrinés par la Bêbete-Qui-Monte ces enfants-là qui ont des vingt au bac sur des poèmes de Baudelaire ne sauraient pas pousser le mauvais goût à de telles extrémités. A la limite ils pourraient entonner le tube de l'Amicale-du-faisceau-1919, Faccetta Nera, parce qu'au moins la mélodie est joviale et élancée. Et puis c'est plus ou moins un hymne à l'ouverture envers l'Ôtre, le lointain, l'étranger qui vaut bien toutes les pastorales antiracistes musicalement moins heureuses auxquelles on n'a pas manqué d'avoir droit ces dernières années.
RépondreSupprimerFrançois
XP : "De même, j'ai pu observer que lorsqu'il leur poussait de la barbe, ils avaient dans les dix-sept ans, et que s'il s'agissait de filles, vers les quinze ans, elles avaient des tétons, à l'inverse de leurs frères."
RépondreSupprimerN'importe quoi. Moi, qui suis leur mère, j'ai bien observé : ils restent toujours mes petits bébés chéris. ^^