Que dire après cette terrible agression de Cherbourg? Que la diversité a une volonté de mort vis à vis de la population de souche blanche. C'est une réalité que l'on ne peut plus nier. Deuxième réalité : la justice, par son laxisme prononcé, cautionne cette volonté de conquête et de mort.
Pauvre France, pauvre, pauvre femme de Cherbourg!
Citadelle
Midi, la clarté aveuglante du soleil
Eclaire, et brûle, et écrase corps et âmes.
Je me souviens de ta parole matinale
Seigneur : "ta faute s'accroît, c'est toujours pareil
Toi qui me connais et qui a été instruite
Toute petite de tout ce que j'ai créé,
Un paradis sans pareil de conte de fée,
Un amour infini qui toujours te poursuit.
Mais tu fuis devant Moi, tu chasses des chimères,
Tu traques des proies ridicules, tes désirs,
Tu inventes ta vie mais tu oublies de vivre
Et ta faute s'accroît et plus rien tu n'espères.
Quand verras-tu enfin ce Midi à ta porte?
Attirée par des sirènes machiavéliques
Tu soupires au sein même des Eucharisties
Tes amours, tes rêves, ta vie de cloporte.
Et ta faute s'accroît et plus rien tu n'espères
Ma fille aînée, ma seule et unique princesse
Mon enfant très aimée, ma France forteresse
Tu vacilles sans cesse entre Ciel et Enfer.
Et ta montagne de vices touche les cieux.
A présent tu me vois et tu m'appelles à l'aide:
Gravir, chute après chute, la pente raide
Au travers d'une vie et des siècles de feu."
Un jour, je me réveillerai d'entre les morts.
Toutes les ruines fumantes qui m'écrasaient
Rassemblées à nouveau, cathédrale de paix
Aux vitraux lumineux et pleins de vérité
Ma patrie restaurée, ses enfants relevés
Habiteront en son coeur, ô Dieu saint et fort.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire