Qu'ils sont loins les jours heureux!
Ont-ils jamais existés?
Je me souviens oh mon Dieu
Quand sur moi Tu t'es penché.
Après une confession,
Quand je lisais, écrivais,
Pendant notre réclusion
Où je vivais et priais.
Depuis, le péché revient
Il s'infiltre dans mon coeur
Disparus la joie, le Bien,
Le démon seul demeure.
Et triste et malheureuse,
Le péché me possède
Enchaînée et songeuse
Enfoncée dans ma misère.
Qu'ils sont loins les jours heureux!
Et, aux portes de la mort
Je tombe à tes pieds mon Dieu
Délivre-moi, oh Dieu fort
Et rends-moi les jours heureux!
Psaume 51 :
"Seigneur, rends-moi la joie d'être sauvé!"
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