Par la douce musique des grands espaces
Le cœur s'élargit soudain aux dimensions
De la mélodie. Roulant vers le mur du son,
Le mur liquide, ce dieu de la vitesse
Martelé dans un rythme de fer sourd et vif,
Je peux avancer et fusionner à tout prix
Musique et machine, défi que par faiblesse
Je poursuis chaque jour et grande déraison
Je m'adjure pourtant mais je danse et je vis!
Oh, sirènes enchanteresses, je vous suis
Je vole, dangereuses et traîtresses illusions
Et pourvu que le mirage disparaisse
Que l'horizon surgisse et la musique cesse
Oh priez, que la voiture freine et s'arrête...
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