lundi 14 août 2023

Chronique estivale 24

 Arrivée pour quelques jours, en bretagne, de quatre de mes fils. Nous sommes donc tous les jours 8 à table (mon mari est reparti). Les quantités de nourriture sont énormes.

Dans la lecture du jour, je lis cette phrase :"Aimez donc l’immigré, car au pays d’Égypte vous étiez des immigrés."

Evidemment, pour moi "aimer les immigrés" ça n'est certainement pas les accueillir sur notre sol comme cela se fait actuellement.  

Aujourd'hui, fête d'un saint polonais, le père Maximilien-Marie Kolbe, mort à Auchtwitz. Il a offert sa vie àla place d'un père de famille. Grand saint, grand missionnaire et ardent serviteur de la cause mariale.

Quelques extraits de sa vie et de sa mort :

"En 1930, il part avec quatre autres frères pour le Japon, où il fonde « Mugenzai No Sono », ou « Jardin de l'Immaculée », dans la banlieue de Nagasaki et y imprime une revue mariale. Cette « cité » restera intacte après l'explosion, en 1945, de la bombe atomique sur Nagasaki."

(...)

"Le 17 février 1941, le Père Kolbe est arrêté par la Gestapo et incarcéré dans la prison Pawiak de Varsovie. Le 28 mai de la même année, il est déporté au camp d’extermination d’Auschwitz, où on lui assigna le numéro 16670.

Fin juillet, un prisonnier s'échappa. En guise de représailles, le commandant Fritsch décide de choisir dix compagnons du même bloc et les condamne injustement à mourir de faim et de soif dans le « souterrain de la mort ».

À la stupeur de tous les prisonniers et des nazis eux-mêmes, le père Maximilien sort des rangs et s'offre pour remplacer l'un des condamnés, le jeune sergent polonais François Gajowniczek. De cette manière inattendue et héroïque, le Père Maximilien descend avec les neuf autres prisonniers dans le « souterrain de la mort » où, les uns après les autres, les prisonniers meurent, consolés, assistés et bénis par un saint.

Le 14 août 1941, le Père Kolbe quitte sa demeure terrestre, pour la rencontre avec Dieu, suite à une injection d’acide phénique. Le jour suivant, son corps fut brûlé dans le four crématoire et ses cendres dispersées au vent."

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