L'heure est aux grandes manœuvres. J'ai réussi ma teinture de cheveux. C'est peut-être un détail pour vous, mais plutôt un soulagement pour moi. Et une sacrée économie future. En ces temps de disette ( la feuille de salaire de mon mari est éloquente), je m'aperçois que je vais pouvoir me passer de ma coiffeuse sans ressembler pour autant au professeur Raoult. Même si je l'aime bien. Le poulailler attendra aussi, ce qui me chagrine plus. J'ai tous les plans, le lieu, la filière poules. Plus tard peut-être...
Les grandes manœuvres c'est aussi et toujours le jardinage. J'ai ajouté quelques plants de framboises dans ma butte (que j'ai dégagée), mes bacs à herbes sont garnis comme il faut et le coin potager fin prêt pour quelques courges, haricots, oignons. Il ne pleut pas, la terre est sèche et dure, le jardinage est une séance de muscu exténuante. Quand je pense que certains se gargarisent avec un "retour à la terre et aux valeurs simples"...
Les grandes manœuvres ce sont aussi et surtout mes jeunes qui s'activent pour des changements de poste dans leurs professions respectives, des recherches de stage et d'alternance, des perspectives d'orientation radicalement différentes de celles prévues et débutées auparavant.
Avec mon mari, nous assistons à toutes ces réflexions, agitations, supputations, attentes. Les lettres de motivation à écrire et corriger, les entretiens téléphoniques à préparer, les prières à saint Joseph pour que cela soit rondement mené.
Avec mon mari, nous assistons à toutes ces réflexions, agitations, supputations, attentes. Les lettres de motivation à écrire et corriger, les entretiens téléphoniques à préparer, les prières à saint Joseph pour que cela soit rondement mené.
Certains, plus décontractés que d'autres, nécessiteraient d'après moi des coups de pieds au c** de saint Joseph mais ça n'est pas écrit ainsi dans la prière . C'est regrettable.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire