En ces longs jours d'hiver froids et venteux
Où l'on se recroqueville sans apprêts, sans voeux,
Tout au fond de nos âmes obscures, froides et vides,
Tu viens, doux Enfant Jésus, ramener la vie.
La paille est piquante comme les épines
De ta couronne, et, broyé contre la poitrine
De Marie, de Joseph, des bergers du monde
Comme une Hostie pleine d'amour qui surabonde.
A chaque messe, c'est Noël qui se dévoile
Mille Séraphins chantent sous les étoiles
L'autel comme ta mangeoire devient ton trône
Ta présence invisible et réelle, l'Icône.
Par ta présence minuscule, atomique,
L'univers s'accroît de façon automatique
L'univers se dilate aux battements de ton Coeur
L'univers entier déborde de Toi, Seigneur.
Et moi je te prends, je te garde avec ferveur
Et mon coeur, et mon âme t'adorent, Seigneur;
L'univers tout entier ne peut pas te garder
Mais ta créature indigne, tous tes pécheurs,
Te reçoivent, Jésus, pour t'aimer à jamais.
Bonjour, je vous vois toujours inspirée, après tant d'années, par notre Seigneur. Gloire à Lui seul...
RépondreSupprimer... n'est-ce-pas cependant j'aimerais vous présenter mon nouveau blog (après une absence tragique de plus de 10 ans sur le net pour ceux qui se souviennent) - si vous êtes toujours intéressée par la littérature, c'est beaucoup plus drôle que les derniers Houellebecq.
Merci madame.
Haarvey
https://www.tumblr.com/anonymeneanmoinsgenial